Dans sa jeunesse, Jeanne van der Velde a travaillé dans un cabinet d’avocats aux Pays-Bas puis est venue s’installer en Belgique pour une organisation internationale. Elle n’avait pas d’héritiers en ligne directe et s’est donc tournée vers SOS Villages d'Enfants : « Ce qui m’importe se résume comme suit : j’ai déjà payé des impôts sur ce que je possède. Et s’il m’arrive quelque chose, comme je n’ai pas d’enfants, ma sœur paiera quelque 60 % de droits de succession ! Grâce au système du legs en duo, je peux rédiger mon testament en faveur de mes héritiers et de SOS Villages d’Enfants, sans léser personne. Une situation financière plus favorable dans laquelle chaque partie est gagnante… »