Ambassadeurs
Hans Nagels soutient SOS Villages d’Enfants depuis 2010. Le concept initial du parrainage l'avait vraiment séduit, notamment parce que ses propres enfants étaient encore petits à l'époque. Aujourd’hui, il est toujours aussi persuadé de l’importance de soutenir les enfants et, par conséquent, l’avenir.
HansC'est ce à quoi je souhaite contribuer à ma manière en tant que donateur régulier.
« Chaque enfant a le droit de connaître l’insouciance de l’enfance, de trouver de la chaleur et d’avoir tout ce dont il a besoin pour devenir un adulte fort, » nous confie Hans. « Je suis très attaché à ce principe et je trouve que cela se retrouve chez SOS Villages d'Enfants, C'est ce à quoi je souhaite contribuer à ma manière en tant que donateur régulier. »
Pour Hans, le passage du soutien d’un enfant spécifique au soutien du projet global de SOS Villages d'Enfants s'est fait progressivement. En 2022, l’enfant qu'il soutenait a quitté le village d’enfants dans lequel il grandissait. Il lui a alors été proposé de soutenir l’entièreté du village d’enfants. « J'ai trouvé que c'était une intelligente transition. Notre soutien va depuis à tous les enfants et plus à un enfant en particulier. Je trouve que c’est plus démocratique. Soutenir le bien-être global d'une communauté me semble beaucoup mieux. »
Il y a quelques mois, nous avons décidé de faire évoluer nos parrainages vers une nouvelle forme. Les parrains et marraines ne peuvent maintenant plus soutenir un enfant ou un village d’enfants en particulier, mais l’intégralité de nos projets. Une décision qui semble
logique aux yeux de Hans : « Pour moi, la transition s'est faite de manière très naturelle. Lorsque SOS Villages d’Enfants a annoncé que le concept du parrainage allait évoluer, je ne pouvais que m'en réjouir. Cette approche me parait bien plus juste. »
Hans« Soutenir le bien-être global d'une communauté me semble beaucoup mieux. »
« Il m'arrive de discuter de mon engagement envers SOS Villages d'Enfants avec d'autres personnes. Ce qui est chouette, c'est que l'on me répond régulièrement : "Ah ? Nous aussi !" Le nombre de personnes qui apportent un soutien régulier est plus grand qu'on ne le pense. » Hans ne sait par contre pas si son enthousiasme est contagieux et a un effet sur le soutien apporté à SOS Villages d'Enfants. « Je ne suis pas un recruteur, je laisse les gens totalement libres de faire ce qu'ils veulent de mon expérience et de mon histoire ! » rit-il.
Hans« La sécurité des enfants est sans doute la chose la plus importante qui soit. »
« Je lis votre magazine et le rapport d'impact d'un bout à l'autre. Je suis avec beaucoup d'attention les histoires du Village d'Enfants SOS Chantevent et des autres projets belges. Je trouve cela bien ce qu'il s'y passe. » Récemment, Hans a rencontré l'équipe de SOS Villages d'Enfants lors de la bourse Affordable Art Fair à Bruxelles, qui présentait un projet participatif appelé le Bijou de Ville qui ne l'a pas laissé indifférent.
« Je suis convaincu de l'importance d'une œuvre d'art pour les personnes ayant vécu des traumatismes durant l’enfance. Je suis agréablement surpris que cette œuvre soit créée en collaboration avec des personnes concernées et qu'elle ait sa place au cœur de Bruxelles. » Hans estime que cette œuvre s'inscrit aussi dans le cadre plus large du travail de SOS Villages d'Enfants. « Cela concerne également de la sécurité des enfants et c'est sans doute la chose la plus importante qui soit... »
Hans travaille au département des Soins de santé de l'INAMI, l'institut du gouvernement fédéral qui s'occupe des soins de santé et des indemnités pour toutes les personnes couvertes par l'assurance obligatoire en Belgique.
Apportez votre soutien et soutenez les enfants dans le besoin !